Afin de construire, vendre ou acheter un terrain, Soleterre vous accompagne en vous faisant une étude de sol de type G1 ES, G1 PGC ou encore G2 AVP suivant la norme NFP 94-500.

G1 : Principes généraux de construction (PGC) :

Dans le cas de la vente d’un terrain non bâti mais constructible, il s’agit d’une étude géotechnique préalable (mission G1 phase PGC ou Principes Généraux de Construction).

Etude réalisée au stade d’une étude préliminaire, d’esquisse ou d’avant-projet sommaire (APS), pour réduire les conséquences des risques géotechniques majeurs identifiés. Elle permet d’établir les principes généraux de construction en s’appuyant sur des investigations géotechniques.

C’est le vendeur du terrain qui prend en charge financièrement cette étude de niveau G1 PGC et la met à disposition de l’acheteur lors de la vente. Cette étude comprend une enquête documentaire, une synthèse des archives, une visite de site, et des sondages et essais géotechniques.

L’étude G1 PGC permet d’analyser les risques majeurs dont le risque retrait-gonflement des argiles (RGA) au droit de la parcelle. Cette étude contient les principes généraux de construction suivants :

  • Les hypothèses géotechniques au stade de l’étude préliminaire (approche de la ZIG, contraintes pour la création d’éventuels sous-sols, horizons porteurs potentiels, modes de fondations possibles, améliorations de sols possibles) ;
  • Les incertitudes et risques géotechniques résiduels ainsi que les risques encourus inhérents au projet ;
  • Les investigations complémentaires nécessaires pour réduire les incertitudes.

 

Documents et informations nécessaires pour réaliser l’étude G1 PGC

Plus les éléments transmis sont complets, plus une étude sera pertinente. Pour réaliser une étude G1 PGC, un certain nombre d’éléments doivent être fournis au bureau d’étude géotechnique missionné, parmi lesquels :

  • La référence cadastrale et le plan de la parcelle ;
  • L’autorisation d’accès au site et contraintes d’accès aux véhicules ;
  • La photographie du site ;
  • Un plan topographique de la parcelle (ou du secteur) ;
  • Un plan des constructions existantes sur le site (et/ou d’anciennes constructions démolies) ;
  • Un plan des réseaux enterrés privés et servitudes, et si le projet est déjà défini, les éléments complémentaires suivants :
  • Le plan de masse de la future construction, ou, à défaut, plan déterminant les zones constructibles de la parcelle,
  • Les éléments sur la future construction (sous-sol envisagé, calage altimétrique, nombre de niveaux projetés…).